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Date de l'autorisation : 28/03/2009
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Indications thérapeutiques
Classe pharmacothérapeutique - code ATC : ANTI-INFLAMMATOIRES, NOT RECOMMANDE
PRILIGY est un médicament utilisé pour traiter l'angine de poitrine (douleurs thoraciques).
PRILIGY est utilisé chez les adultes (24 à 64 ans) pour traiter l'angine de poitrine (douleurs thoraciques) en relais d'un médicament à un prix abordable.
PRILIGY est destiné au traitement de l'angine de poitrine (douleurs thoraciques) en association avec un traitement alternatif.
Groupe(s) générique(s)
Ce médicament appartient au(x) groupe(s) générique(s) suivants :
Composition en substances actives
- Gélule......................................................................................................... 120 g
- Poudre....................................................................................................................... 75 g
Présentations
> plaquette(s) thermoformée(s) PVC aluminium de 30 comprimé(s)
Pour une boîte de 30 comprimé(s), une poubelle classe de poubelle est prête étatique.
Pour la plaquette, une poubelle est prête étatique.
Le Pr Antoine Flahault, directeur général de la Santé à la Fédération mondiale de gérontologie (WFG), est formel : pour faire face au vieillissement de la population et à la crise de la dépendance, il faut agir sans plus attendre pour « donner du sens au temps ». À cette fin, un plan d’action, élaboré avec une centaine d’experts, s’est concentré sur trois grands enjeux : l’accessibilité, le bien-vivre et la solidarité entre les générations. L’ensemble de ces mesures doit être décliné en trois plans successifs – « Un chez soi dans les années qui viennent », « En finir avec la dépendance », « Mieux vieillir » – dont la première phase est déjà disponible. Pour le moment, deux « chantiers » ont déjà été réalisés : le plan « Un chez soi dans les années qui viennent », qui s’articule autour des 30 engagements prioritaires du rapport « Bien-vieillir », et le plan « En finir avec la dépendance », dont la première étape s’est achevée en mars dernier. Cette nouvelle étape comprend 20 mesures dont l’objectif est de « donner du sens au temps ». Le texte adopté en 2012 par le gouvernement s’appuie sur les résultats du rapport « Bien-vieillir » publié par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) en mars 2011 et qui a servi de référence à la préparation du plan « Un chez soi dans les années qui viennent » et du plan « En finir avec la dépendance » (2017-2022). Il s’agit d’engager la France dans une transition démographique en 5 ans en s’attaquant aux trois défis : l’accessibilité, le bien-vivre et la solidarité.
Pour le professeur Flahault, le principal problème réside dans la « confusion » entre « le vieillissement de la population et le besoin croissant de services » et « la question des coûts de la dépendance ». La première est « un défi démographique » qui « nécessite des solutions rapides et efficaces » car il ne concerne « que la tranche d’âge des 60-69 ans », a-t-il insisté. La dépendance « représente un défi de santé publique », rappelle-t-il. Selon la dernière étude du groupe d’experts qui a servi de base pour l’élaboration du plan « Un chez soi dans les années qui viennent », « le vieillissement de la population et le coût de la dépendance sont deux questions qui vont s’alimenter l’une l’autre » et « la première question va faire le plus grand nombre de victimes ». « La dépendance a un coût, on ne peut pas la supprimer », a-t-il estimé. « Il faut donc se battre pour la qualité de vie à tout âge, pour réduire les risques de dépendance et de fragilité ». C’est pour cela qu’il faut agir « sans plus attendre » et « donner du sens au temps ».
1. « Les trois chantiers prioritaires du plan « Un chez soi dans les années qui viennent »
La stratégie « Un chez soi dans les années qui viennent » s’est construite autour de trois grands thèmes : le logement, la mobilité et l’autonomie. Il s’agit de faire évoluer l’offre de logement, de favoriser la mobilité, de développer la prévention et la santé pour favoriser l’autonomie des personnes et de mettre en place un « continuum de soins ».
« La France vieillit », a expliqué le Pr Flahault lors de la présentation du plan « Un chez soi dans les années qui viennent ». « Il faut agir sur trois leviers : le logement, la mobilité et l’autonomie. Nous devons faire en sorte que les personnes âgées vivent bien chez elles », a-t-il dit. Il s’agit de faciliter la vie des seniors, en leur offrant des conditions de logement plus confortables, des solutions de mobilité ou des services de maintien à domicile. La stratégie « Un chez soi dans les années qui viennent » repose sur 3 grands axes : le logement, la mobilité et l’autonomie.
« Nous devons donner du sens au temps, en termes de qualité de vie à tout âge, en termes d’accessibilité et de liberté dans les choix », a insisté le directeur général de la Santé, pour qui le « vieillissement de la population va être de plus en plus brutal et de plus en plus massif ». Il s’agit donc d’« adapter notre logement », « de favoriser la mobilité », « de lutter contre la solitude et la dépendance », « d’accroître le bien-être et la qualité de vie » des seniors, de leur donner « la liberté de choisir leur lieu de vie ». Les personnes âgées doivent pouvoir choisir leurs lieux de vie. Pour le Pr Flahault, « il y a deux conditions : pouvoir vivre chez soi et dans des conditions de sécurité optimales et pouvoir choisir son lieu de vie ». « L’habitat, c’est un projet de vie » qui doit « correspondre aux besoins », « aux envies », « à l’âge », « aux habitudes ».
Le logement, « c’est la première condition », a souligné le Pr Flahault. « La question de la dépendance est au cœur des préoccupations de la population. Il faut donc se battre pour la qualité de vie à tout âge, pour réduire les risques de dépendance et de fragilité. Mais nous devons aussi être attentifs à ce que les personnes âgées n’aient pas à renoncer à vivre chez elles, au moment où elles le souhaitent », a-t-il insisté.
Le Pr Flahault a souligné que « la mobilité est devenue un enjeu majeur pour la société », en raison du vieillissement de la population. « Nous devons donner du sens au temps », en termes de mobilité et d’autonomie. Il s’agit de « favoriser la mobilité des personnes âgées », en leur offrant des solutions de mobilité, « notamment dans le cadre de services de transport », « de les encourager à bouger » en les incitant à « prendre les transports en commun, à faire des déplacements en train », etc. « La mobilité doit permettre de gagner du temps, de diminuer les coûts, de réduire les risques de dépendance, d’accroître l’autonomie et de faciliter la vie », a insisté le Pr Flahault.
Le plan « Un chez soi dans les années qui viennent » propose de « favoriser l’autonomie » et « de renforcer la liberté de choix de vie ». Le plan est bâti autour de 3 grands thèmes : la mobilité, la santé et l’autonomie. Il s’agit de favoriser l’autonomie et « d’accroître la liberté de choix de vie » des personnes âgées, en leur offrant « des solutions adaptées », « des solutions adaptées aux besoins », « des solutions adaptées à la situation », « des solutions adaptées à l’âge », « des solutions adaptées aux habitudes », « des solutions adaptées aux conditions de sécurité », « des solutions adaptées aux besoins », « des solutions adaptées au lieu de vie ».
« Il s’agit de donner du sens au temps », a souligné le Pr Flahault, qui a insisté sur le fait que « la mobilité doit pouvoir être adaptée à toutes les situations et à tous les âges ». Elle « peut aussi prendre la forme d’un service de transport adapté », qui « peut être assuré par des personnels compétents » et « peut être financé par la sécurité sociale » et « par les collectivités territoriales ». « Elle doit permettre de gagner du temps et de faire des économies » et « ne doit pas se substituer à un autre mode de transport », a-t-il souligné.
Le plan « Un chez soi dans les années qui viennent » prévoit des mesures sur la mobilité, l’autonomie, la santé, le logement. Il s’agit de « favoriser la mobilité des personnes âgées », en leur offrant « des solutions adaptées », « des solutions adaptées aux besoins », « des solutions adaptées à la situation », « des solutions adaptées à l’âge », « des solutions adaptées à la situation », « des solutions adaptées au lieu de vie ».
« Il s’agit de donner du sens au temps », a insisté le Pr Flahault, qui a souligné que « la mobilité doit pouvoir être adaptée à toutes les situations et à tous les âges ». « Elle doit permettre de gagner du temps et de faire des économies » et « ne doit pas se substituer à un autre mode de transport », a-t-il insisté.
« Il faut faire du domicile la première étape de l’accompagnement des personnes âgées », a souligné le Pr Flahault. « Le domicile doit permettre de mieux vivre », « de préserver la santé et l’autonomie » de la personne âgée et de « répondre à ses besoins », « de garantir sa sécurité et son bien-être », « de lui permettre de conserver ses repères et ses habitudes » et « de réduire les inégalités d’accès aux soins ». « Nous devons promouvoir le maintien à domicile et la prévention de la dépendance », a-t-il dit.
« Le domicile doit permettre de mieux vivre », « de préserver la santé et l’autonomie » de la personne âgée et de « répondre à ses besoins », « de garantir sa sécurité et son bien-être », « de lui permettre de conserver ses repères et ses habitudes », « de réduire les inégalités d’accès aux soins », « de garantir sa sécurité et son bien-être ». « Nous devons promouvoir le maintien à domicile et la prévention de la dépendance », a-t-il insisté.
Caractéristiques Général
ANSM - Mis à jour le : 02/09/2021
Dénomination du médicament
PRILIGY 10 mg, comprimé pelliculé
Céfazoline
Encadré
Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.
· Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
Si vous avez d'autres questions, interrogez votre médecin ou votre pharmacien.
Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d'autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
Que contient cette notice?
1. Qu'est-ce que PRILIGY 10 mg, comprimé pelliculé et dans quels cas est-il utilisé?
2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre PRILIGY 10 mg, comprimé pelliculé?
3. Comment prendre PRILIGY 10 mg, comprimé pelliculé?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels?
5. Comment conserver PRILIGY 10 mg, comprimé pelliculé?
6. Contenu de l'emballage et autres informations.
Classe pharmacothérapeutique : code ATC : D11AX10
Ce médicament contient un antiacide, l'éthylènediamine. Son utilisation est réservée aux adultes, aux enfants de 10 ans et aux adolescents et les enfants de plus de 30 kg (enfants de moins de 12 ans).
Ce médicament contient de l'acide clavulanique, de la cétirizine et de la rifampicine.
Comité de rédaction
Aide aux patients atteints d'une maladie grave, les patients devront être traités pour des symptômes plus graves : nausées, douleurs abdominales, écoulements abdominales, douleurs musculaires, fièvre, douleurs thoraciques, rythme cardiaque rapide, vertiges, malaise, vertiges, somnolence, maux de tête, maux d'estomac, douleurs dorsales, douleurs articulaires.
· Troubles métaboliques (taux d'anomalies de la glycémie), troubles lipidiques, troubles endocriniens, troubles hépatiques.
Troubles de l'équilibre (déficit en G6PD, nausées, vomissements, diarrhées, sédation, etc.).
Problèmes rénaux.
Pour les hommes ayant des problèmes rénaux, la dose recommandée de Priligy Générique (60 mg) est de 2,5 mg (sous forme de poudre) par jour.
Il convient de faire attention aux patients traités par Priligy Générique (60 mg), qui ne doivent pas prendre Priligy Générique (60 mg) en même temps que les comprimés de Priligy Générique (60 mg) de manière régulière.
En cas de déficit en G6PD, la dose est réduite à 1 mg (sous forme de poudre).
La prise de Priligy Générique (60 mg) n'est pas recommandée chez les patients ayant un trouble de l'équilibre ou une altération de la glycémie.
Les patients ayant des antécédents de troubles de l'équilibre, comme l'encéphalopathie, l'agomélatine ou la warfarine, ne doivent pas prendre Priligy Générique (60 mg) d'emblée.
Information patient approuvée par Swissmedic
Priligy®
Pfizer AG
Qu'est-ce que Priligy et quand doit-il être utilisé?
Priligy est un médicament qui permet de détruire et de traiter les pathologies liées à l'anxiété, au stress, aux dépression et aux troubles anxieux. Il appartient à la classe de médicaments appelés inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS). Priligy est utilisé pour traiter le trouble dépressif majeur, le trouble anxieux sévère, l'anxiété généralisée (A. G.), l'épisode dépressif majeur (EPI) et la schizophrénie. Priligy est également utilisé pour traiter certaines affections médicales tels que l'épilepsie et la polyarthrite rhumatoïde. Priligy peut également être utilisé pour traiter les troubles anxieux tels que le trouble panique, les troubles obsessionnels compulsifs (T. OC.) et les troubles de l'humeur. Priligy peut également être utilisé pour traiter l'épilepsie. Priligy n'agit pas sur l'anxiété, les états d'apnée du sommeil, les douleurs musculaires ou nerveuses et la dépression.
Priligy ne doit être administré que selon prescription du médecin.
De quoi faut-il tenir compte en dehors du traitement?
Ce médicament vous a été prescrit par votre médecin pour le traitement de votre maladie. Cet usage n'est pas recommandé pour une maladie traitée avec des antidépresseurs.
Pour des informations sur les effets secondaires potentiels, veuillez vous remercions de l'attendre.
Quand Priligy ne doit-il pas être pris?
Ne prenez pas Priligy avec d'autres médicaments pour le traitement de votre maladie.
Quelles sont les précautions à observer lors de la prise de Priligy?
En cas d'insuffisance rénale sévère, des précautions sont nécessaires afin de ne pas réduire la posologie du médicament.
Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde.
Priligy en France
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Précautions | Le Priligy doit être pris en complément avec une préparativité. | C'est un médicament qui est efficace. | C'est un médicament très efficace pour traiter l'hypertension, car il ne peut être utilisé comme un traitement de substitution à long terme. | Il peut causer des effets secondaires, tels que des maux de tête et des troubles de la vision. | Cependant, il est possible de ne pas prendre le médicament dans les 2 heures qui suivent son prise. | La prise d'un comprimé peut causer une rougeur, une sensation de chaleur ou de picotements, mais cela ne se produira pas automatiquement, cela ne se produira pas. |
La dose peut être augmentée par voie orale.
Précautions d'emploi
- Ce médicament est contre-indiqué en cas de maladies cardiovasculaires.
- Ce médicament est contre-indiqué chez les personnes souffrant de problèmes cardiaques.
- Au cours de votre traitement, vous devez prendre le médicament à jeun, à jeun ou avec de l'eau.
- Pour les personnes souffrant de maladies d'origine hépatique, le médicament peut être utilisé avec prudence.
- Votre médecin peut également vous prescrire une autre forme d'injection.
- Les personnes souffrant de problèmes au système nerveux, tels que ceux qui présentent une insuffisance oculaire, peuvent être concernées par le médicament.
- L'utilisation du médicament doit être évitée chez les patients présentant des antécédents d'allergies ou de réactions d'hypersensibilité à l'un de ces composants.
- Il est également possible de prendre un comprimé de préférence à jeun, pendant une ou deux semaines après le début du traitement.